Aqueduc du Giers

Aqueduc du Giers

Aqueduc Du Gier

Les Aqueducs Gallo Romains de Lyon antique, Lugdunum

 

 

L’Aqueduc du Gier

Le plus célèbre et le plus monumental des ouvrages d’adduction de Lyon antique, est l’aqueduc du Gier, nom du la rivière qu’il capte.

C’est à Izieux-Moulin Combat, au sud de Saint Chamond, qu’il s’alimente à un barrage, cote 405 ( et à un autre 3/4 m plus haut?).

Il traverse 23 communes : Saint Chamond, l’Horme, Cellieu, La Grand Croix, Lorette, Génilac, Chagnon, Valfleury, Saint Romain-en-Jarez, Saint Martin-la-Plaine, Saint Joseph, Loire; Saint Didier-sous-Riverie, Saint Maurice-sur-Dargoire, Saint Jean-de-Touslas, Mornant, Saint Laurent-d’Agny, Taluyers, Orliénas, Soucieu-en-Jarez, Brignais, Chaponost, Sainte Foy-les-Lyons, Lyon.

L’aqueduc du Gier délivrait ses eaux sur le plateau de Fourvière, cote¸ 299, entre Le Verbe Incarné, les théâtres, et l’éperon nord du plateau (Palais impérial?-Tour métallique), au terme d’un parcours de 74 et/ou 85 km  pour 42 en ligne droite. Une option de trajet écoulait l’eau par 4 siphons sur 74 km, l’autre par 3 siphons sur 85 km.

Son dénivelé, 109 m est obtenu par des pentes de 0,5 à 0,9, voire 1,2 %. Après le ou les barrages initiaux, il présente un réservoir de régulation-stockage à la Martinière, un long pont canal de 33 arches, 50 à 80 ponts, 13 à 15 tunnels, de longues files d’arches, notamment à Soucieu-en-Jarez, Champanel ou La Gerle, et à Chaponost, La Colombe et Le Plat de l’Air.

Il recourt à 3 ou 4 siphons : Genilac les Arcs, (option), enjambant La Durèze; Brignais-Raze Bagnon, à la vallée du Garon; Chaponost-Sainte Foy sur l’Yzeron, et Trion au col séparant l’éperon de Fourvière du plateau du Point du Jour.

Les ingénieurs romains ont eu le souci de sa normalisation, (gabarit standard en pied romain, au specus piles et arches; équidistance des regards en « actus », 80/1050 rescensés à ce jour Burdy 02); de sa présentation, (opus réticulé en damier, arases et claveaux de brique aux tronçons aériens), et pour sa technique, (profil, calcul des pentes, siphons inversés, tunnels, ponts et files d’arches).

Il présente deux particularités tout à fait exceptionnelles pour le monde romain : les deux parcours optionnels de la vallée de la Durèze, entre Génilac, Chagnon, Cellieu, Saint Romain en Jarez, Valfleury; et le développement d’une tranchée préalable à un ouvrage parallèle, quelques 12 à 15 m en contrehaut, depuis Saint Chamond jusqu’à Mornant peut-être, au moins jusqu’à Saint Maurice sur Dargoire.

C’est la seule adduction de Lugdunum à capter les eaux d’une rivière, en tout cas dans l’état actuel de nos connaissances. Son débit maximum se situait autour de 12000 m3 journaliers (Burdy 02) Il a livré des documents épigraphiques remarquables : les pierres de Chagnon, 1887; et de Saint Joseph, 1996 (La Diana 87, L’Araire 96).

La datation de cet aqueduc a longtemps été rapportée à l’empereur Hadrien, (Germain de Montauzan 08, Audin 56); une fontaine avec pile et chapiteau à la dédicace de Claude exhumée en 1986 a la cote 283 au Clos du Verbe Incarné réinstallée sur un socle antérieur tranche pour une époque au plus tard claudienne, ce qui situe la construction à la première moitié du premier siècle. Datations, durée de fonctionnement qu’on peut évaluer de 2 à 3 siècles, abandon, sont à préciser;

De nombreux auteurs en ont fait le thème favori de l’hydraulique antique lyonnaise. L’aqueduc du Gier fascine par sa technique et sa monumentalité; mais restent beaucoup de questions: reconnaissance intégrale de la Tranchée Supérieure, ses liens avec l’aqueduc réalisé; ceux entre contour et siphon à la Durèze; recherche et fouille archéologique de ponts et tunnels inconnus, de la tranchée du Collenon, d’éventuels dispositifs de freinage, répartition et distribution.

Lyon – Terreaux

Lyon – Terreaux

Les Terreaux

La place des Terreaux fait le lien entre la Croix Rousse et la presqu’île

Située au pied de la Croix Rousse, entre le Rhône et la Saône, une belle place plusieurs fois refaites, entourée par le Palais des Beaux-Arts dit Palais Saint Pierre et l’Hôtel de ville.

Juste derrière, on trouve la place de la Comédie avec l’Opéra de Lyon et l’entrée sur la première rue piétonne : la rue de la République dites rue de la Ré.

Lyon – Quartier de l’industrie

Lyon – Quartier de l’industrie

Quartier de l'industrie

Ancienne friche industrielle aujourd’hui transfigurée

L’industrie est une une ancienne friche industrielle des années 1970.
Laissé en désuétude, elle a fait l’objet dès 1998 d’études et d’un projet de réaménagement qui, en 2020, est en passe de se terminer.

Le quartier est entièrement transfiguré et est maintenant agréable à parcourir, entre commerces, restaurants, salles de spectacle, habitations, siège social d’entreprises et immeubles de bureau sans oublier des espaces verts ouverts à tous, le temps d’une halte en vue de Saône.

 

Théatre Romain

Théatre Romain

Théâtre Antique de Lyon

Théâtre Romain

Le théâtre antique de Lugdunum est à visiter.

Il est à quelques pas de l’esplanade de Fourvière et offre une vue sur le passé de la ville. Construit par les romains, au centre de leur colonie, il fut agrandi plusieurs fois et atteint une capacité de 10 000 personnes.

Au Moyen Age, il fut totalement oublié et même enseveli. Il est redécouvert un peu avant 1900. Sa restauration a été entreprise dans les années 1930.

Aujourd’hui, avec le Musée Gallo-Romain qui lui est associé il forme un point de visite remarquable.

Vous pouvez aussi en profiter en période estivale ou sa vocation première est à nouveau là, grâce aux nuits de Fourvière organisées par la métropole de Lyon.

 

Parc de la Tête d’Or

Parc de la Tête d’Or

Parc de la Tête d'Or

Le Parc de la Tête d’Or, c’est 117 hectares de déambulation offert à tous visiteurs

Parc de 117 ha commandé par la ville de Lyon en 1862, dont le tracé à l’anglaise et les arbres centenaires font la réputation.

Un magnifique lac trône en son centre où vous pourrez vous promener en barque ou en pédalo à la belle saison.

Pour les amateurs de plantes un jardin botanique, et des serres tropicales en font un haut lieu européen.

Le fleuron du parc est sa roseraie qui possède 60 000 rosiers répartis en 350 variétés.

Les amateurs d’exotisme ou tout simplement les parents désireux de faire découvrir les animaux à leurs enfants trouveront leur bonheur dans le très beau jardin zoologique.

Parc de la Tête d’Or : La Roseraie

Parc de la Tête d’Or : La Roseraie

Parc de la Tête d'Or : La Roseraie

La Roseraie est un endroit magnifique, surtout au printemps, quand la floraison est à son maximum

La roseraie, inaugurée en 1964, est implanté sur 5 hectares où sont répartis plus de 450 variétés de roses que nous pouvons voir, sentir, admirer grâce aux 16 000 rosiers plantés.

Chaque année a lieu le concours des roses nouvelles, un moment pour nous visiteurs, de les découvrir.

 

Parc de la Tête d’Or : Le Zoo

Parc de la Tête d’Or : Le Zoo

Parc zoologique de la Tête d'Or

Le Zoo de Lyon est le seul zoo entièrement gratuit

Le zoo de Lyon offre sur une surface de 8 hectares, la possibilité de découvrir plus de 400 espèces animales (mammifères, oiseaux, reptiles, tortues, ..) en lien avec des programmes européens de sauvegarde des espèces.

La plaine africaine, ouverte en 2006 est le renouveau du zoo en offrant une surface de 3 hectares à plusieurs espèces animales où ils vont vivre en se côtoyant. Occasion de découvrir girafes, zèbres, watusis, lémuriens pour les principaux locataires du lieu.

Nos amis les éléphants sont malheureusement partis et leur habitat est réinvesti pour créer une zone tropicale qui sera à découvrir dans les mois à venir.

 

Lyon – Fourvière

Lyon – Fourvière

Fourvière

Fourvière

Quartier historique qui comprend le Théâtre des Trois Gaules mais aussi la Basilique de Fourvière, le parc des hauteurs et le cimetière de Loyasse.

Fourvière est la colline qui domine la ville de Lyon. C’est aussi le lieu le plus ancien habité de Lyon ou plutôt de Lugdunum !

Pour atteindre ce quartier vous avez le choix entre des rues étroites et pentues, de passer par le jardin du Rosaire ou de prendre le funiculaire, pardon, la Ficelle comme on l’appelle à Lyon. 

 

Lyon – La Cité Internationale

Lyon – La Cité Internationale

La Cité Internationale

La Cité Internationale

Construite sur l’ancien site de la foire de Lyon qui a déménagé en 1984 à Chassieu.

La Cité Internationale intègre aujourd’hui un vaste ensemble, moderne, en lien avec le Parc de la Tête d’Or et longeant le Rhône à son entrée dans Lyon.

Ensemble d’habitations, de bureaux, intègre aussi un multiplex cinématographique, le musée d’Art Contemporain et le nouveau Palais des Congrès sans oublier un hôtel haut de gamme et un Casino ou vous pouvez aller titiller les bandits manchots et autres jeux pour espérer gagner le jackpot !